Le coup d’État parlementaire de 2024 : une démocratie enterrée en silence
Le 2024 a marqué un tournant historique et tragique pour notre pays. Le régime de Faure Gnassingbé,
incapable de gagner l’adhésion populaire par des élections transparentes, a trouvé un nouveau stratagème :
transformer le Togo en une pseudo-république parlementaire, un coup d’État déguisé sous des habits légaux.
En tant que militant politique et écrivain engagé, moi, Komlan Eyram Mensah Dossou
, je dénonce fermement ce coup de force silencieux.
Cette réforme constitutionnelle n’a pas été votée par le peuple, mais imposée par un parlement aux ordres.
Elle permet au président de devenir une figure "au-dessus des lois",
désignée indéfiniment par une assemblée qu’il contrôle.
Le peuple togolais a été exclu du processus. Pas de référendum. Pas de débat public.
Pas de transparence. Juste une prise de pouvoir en douce.
Ce changement n’est pas une réforme. C’est la légalisation de la dictature.
Et pourtant, les chancelleries africaines et occidentales applaudissent, au nom de la "stabilité".
Quelle stabilité peut exister quand un peuple est muselé, trahi, étouffé ?
Il est temps d’appeler les choses par leur nom. Le régime de Faure est une monarchie élective.
Et tant que nous ne briserons pas ce cercle de manipulation, le Togo ne connaîtra jamais la vraie démocratie.
You’ve shown us that truth still has warriors. One day, history will remember your courage."
ReplyDeleteYou're the hope of our generation.
We will make sure that you are put in jail and never to see the light of day, even more so burry you alive, if you keep talking about the party in power in togo, the way you do.
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